Anti-OGM: Contre l’imposition des OGM

Détruire le mythe autour des O.G.M non confinés

Haro sur le vivant - partie 1

Posté par ... le 12/4/2008

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Synthèse documentaire Anti-OGM.info sur l’histoire du développement des OGM.
Première partie - contexte historique du développement des OGM: l’avant.

2 Réponses à “Haro sur le vivant - partie 1”

  1. renault A dit:

    Les élections sénatoriales se tiendront en septembre 2008. Or, ce sont, là dans les toutes prochaines semaines, que les sénateurs ont à prendre la lourde décision qui consiste à accepter, par exemple, le fait que des dizaines de générations futures devront bouffer des OGM à foison ! Ou pas !

    Que l’on soit pour ou contre l’acte de voter, ces élections pourraient bien être un tournant crucial dans notre Démocratie. Car la situation est exceptionnelle ! Elus au suffrage universel indirect, la moitié des sénateurs en place - dont le mandat est renouvelable donc en septembre prochain - vont devoir rendre des comptes sur tout sujet déjà voté et en cours (OGM, lutte contre la violences faites aux femmes….) dans les prochains devant la moitié des 145 000 grands électeurs (dont la majorité d’entre-eux aujourd’hui sont à gauche depuis le résultats des élections municipales et les cantonales de mars 2008). Mais ils traînent comme par hasard les pieds sur des thèmes liés aux droits fondamentaux et qui passent en dernière ligne droite devant l’assemblée des “sages” !

    PETIT RAPPEL POUR PREPARER UN LOBBYING ANTI-SENATEURS LOBOTOMISES EFFICACE smiley Il est procédé tous les trois ans au renouvellement de la moitié des sénateurs élu par un collège électoral sénatorial. Ceux-ci sont répartis entre deux listes 1 et 2 suivant l’ordre alphabétique des départements. Le collège électoral sénatorial est composé de : députés, conseillers régionaux (et conseillers à l’Assemblée de Corse) ainsi que les conseillers généraux de chaque département, de délégués des conseils municipaux (essentiellement des maires et conseillers municipaux) ou les suppléants de ces délégués, de membres du Conseil supérieur des Français de l’étranger (CSFE).

    Pour reprendre l’exemple particulièrement caractéristique des OGM, sera-t-il plus efficace d’organiser la lutte et interpeller des sénateurs en fin de mandat plutôt que des députés fraichement élus ?

  2. Aurel A dit:

    Je ne crois pas que la problématique des OGM ne soit qu’une question politique: de tous les points de vue, l’imposition des OGM agricoles est scandaleuse: démocratiquement, économiquement, scientifiquement, du point de vue sanitaire et environnemental. Les chercheurs du service public sont pris pour des sous-traitants des multinationales en l’occurence américaines, et en l’occurence Monsanto, pour des études dont ils ont la responsabilité mais qu’ils ne font pas, car cela nuirait à leur rentabilité. C’est effectivement une situation exceptionnelle et de grande ampleur. Ethiquement, l’imposition des OGM agricoles est aussi un scandale, car il n’y a aucune liberté à ce niveau: les OGM sont imposés par la puissance économique, et les autres agricultures pâtissent de la contamination, de la dégradation, et de la complexification de leurs cahiers des charges. L’équivalence en substance est une invention destinée à faire accepter ces produits, le fait est qu’il est impossible de déclarer équivalent des produits étant donné la spécificité de leur mode d’obtention, dont les effets au long terme ne sont pas étudiés. Le principe du “cas par cas” est aussi une tromperie destinée à faire accepter les OGM en disant qu’il y en a des bons et d’autres mauvais: la réalité est que personne ne peut certifier des effets au long terme de n’importe quel OGM, y compris ceux autorisés sur le marché. Il n’y a donc pas de “cas par cas” qui vaille, la mise sur le marché des OGM disséminés répondant à des critères purement normalistes. Aucune traçabilité n’est réellement possible: la transparence et la sécurité ne sont que sur le papier, et des exemples de contamination ou de cultures GM interdites ont déjà été répertoriées en France, et en Europe. D’autre part, autoriser des ogm à la consommation mais pas à la culture, comme c’est le cas du mon863 relève de l’hypocrisie la plus totale: il faut arrêter de se moquer des consommateurs. Les élites américaines ont tout simplement décidés que les OGM représentent plus d’avantage pour eux (contrôle de l’alimentation et des marchés par les brevets…etc) que de risques pour les populations: les consommateurs et l’environnement tout entier, la planète toute entière, sont les cobayes de l’avidité des dirigeants de ces multinationales et de la volonté de pouvoir de leur gouvernement.

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