Anti-OGM: Contre l’imposition des OGM

Détruire le mythe autour des O.G.M non confinés

Du soja OGM de chez Monsanto utilisé clandestinement dans la restauration rapide française et européenne

Posté par ... le 9/11/2008

En région parisienne, des services de restauration rapide utilisent à l’insu de leurs clients des produits alimentaires (principalement de la mayonnaise) à base de soja OGM, selon les observations d’un de nos lecteurs.

C’est en récupérant les seaux vides de plusieurs restaurants qu’un lecteur s’est aperçu que depuis un ou deux ans, du soja génétiquement modifié se retrouvait dans la composition de produits alimentaires utilisés dans plusieurs fast-foods, et ce sans que le consommateur n’en soit nullement informé, en contradiction avec le règlement n°1829/2003/CE de l’Union Européenne mis en application en avril 2004 et stipulant pour les modalités d’étiquetage pour les denrées alimentaires non préemballées:

L’information au regard de la présence d’ingrédients génétiquement modifiés ou dérivés d’OGM (…) doit être affichée soit sur le présentoir de la denrée ou à proximité immédiate de celle-ci, soit sur le matériau d’emballage, de façon permanente et visible, dans une police de caractère suffisamment grande pour être facilement distinguée et lue.

Vu l’absence de possibilité de vérification pour l’ensemble des services de restauration rapide du territoire, il semble tout à fait plausible que d’importantes quantités d’aliments à base d’OGM soient utilisées à l’insu des consommateurs dans la restauration rapide nationale et européenne.

Les produits concernés à base de soja OGM sont principalement des mayonnaises d’entreprises françaises, belges, espagnoles et allemandes. Plusieurs OGM sont actuellement autorisés à la consommation animale et humaine en Europe et se retrouvent dans l’alimentation, alors même qu’en France, ils ne sont pas autorisés à la culture.

Au 1ier mai 2008, le seul soja autorisé à la consommation au niveau européen est le Soja Mon40-3-2, de Monsanto, tolérant à un herbicide. C’est ce soja génétiquement modifié qui est vraisemblablement utilisé par certaines entreprises agroalimentaires à destination de la restauration rapide, et commercialisé de manière clandestine par cette dernière.

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Greedpeace tergiverse, bricole et maintient le statu quo sur la question des OGM

Posté par ... le 5/11/2008

Le responsable de la campagne Greenpeace France a répondu dans une interview parue dans le quotidien L’Express aux communications de l’Agence de Sécurité Alimentaire Européenne (AESA, EFSA) favorable à la levée de la clause de sauvegarde en France concernant le maïs mon810.

Face aux interrogations légitimes soulevées par la diffusion des OGM dans l’environnement, Arnaud Apoteker a évoqué la possibilité d’une réforme de l’institution européenne afin d’y inclure des écologistes, ou la nécessité de faire entrer en jeu une nouvelle instance européenne comme l’Agence européenne pour l’environnement. Une autre réforme appelée par Greenpeace est la nécessité de “mettre en oeuvre des études d’impact, à long terme, des OGM sur l’environnement“.

Encore une fois, les associations écologistes semblent se perdre à la périphérie de la problématique et s’activer dans la compromission et le statu quo, inhérents à toute campagne de communication politique.

La question n’étant pas ici de faire durer le suspense ou de prolonger une campagne antiOGM qui ne demande qu’à être enterrée, mais bien de montrer la fausseté des évaluations scientifiques existantes, basées sur le principe biaisé d’équivalence en substance, et promouvant une méthodologie scientifiquement incomplète et idéologiquement orientée en faveur de l’industrie agrogénétique.

Ce qu’il faut ne sont pas de nouvelles études scientifiques longues et coûteuses venant confirmer ce qui est déjà clair et prouvé scientifiquement (dissémination incontrôlable, développement de résistance des insectes, effets de toxicité à l’absorption…), mais une action politique et institutionnelle directe, immédiate et cohérente avec le souhait des populations défavorables à la diffusion de ces produits dans l’environnement et la chaîne alimentaire, c’est-à-dire un retrait immédiat de la totalité des produits OGM du marché agricole mondial, et non de tel ou tel produit particulier de telle ou telle firme particulière, accompagné d’un plan de reconversion des capitaux des firmes agrochimiques développant ces produits, possiblement attribuable à un ou des organismes transnationaux dédiés au développement des méthodes agroécologiques de production alimentaires, ou encore à une institution comme l’OME, préservée des lobbies nationaux, corporatistes ou industriels.

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Semer la biodiversité - conférence

Posté par ... le 1/11/2008



Première partie de la conférence organisée par le collectif “Semons la biodiversité”, mise en image par la Télévision Paysanne.

Résumé: Robert-Ali Brac de la Perriére retrace les grands courants historiques du contrôle des semences, et leur possible développement, des épurateurs à partir de la fin du XIXième siècle et l’idéologie eugéniste, aux transformateurs actuels de l’agrogénétique et l’idéologie réductionniste, jusqu’aux synthétiseurs et l’idéologie transhumaniste voyant dans la technique un moyen de contrôler complètement artificiellement le vivant et d’interférer dessus à volonté. L’intervenant recense également les différentes méthodes de modification génétique existantes, de la fusion cellulaire à la transgénèse en passant par la mutagénèse induite chimiquement ou par irradiation. La conférence se poursuit par la lecture d’un témoignage d’une chercheuse suisse, et par des questions du public.

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La terre vue de la terre

Posté par ... le 31/10/2008

Extrait du documentaire La terre vue de la terre de Coline Serreau, en partenariat avec Colibris, mouvement pour la Terre et l’Humanisme.

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L’EFSA sort de son devoir de réserve concernant le marketing industriel des OGM

Posté par ... le 31/10/2008

Selon une dépêche de l’agence Reuters à Bruxelles, et reprise en choeur - un peu comme à la messe - par de nombreux quotidiens de presse, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) estime que l’embargo français sur le maïs génétiquement modifié Mon 810 produit par la firme américaine Monsanto n’est pas justifié.

Nous invitons les lecteurs soucieux d’une véritable information à caractère scientifique à évidemment ne pas se fier aveuglément aux institutions scientifiques et aux autorités nationales et européennes, dont l’objectif est l’accompagnement de l’industrialisation des OGM dans l’alimentation, refusée par la majorité des citoyens (70% d’avis défavorable en 2001 selon un sondage Eurobaromètre), et à lire la critique de la méthodologie erronée de l’équivalence en substance utilisée et promue par l’EFSA dans son travail d’homologation des OGM, déjà critiquée par ailleurs par l’ancien secrétaire d’état à l’agriculture américain Dan Glickman, qui a également témoigné devant la journaliste Marie-Monique Robin de l’aspect idéologique et politique de cette méthodologie scientifique, destinée à faire accepter la commercialisation de ces produits.

Dimanche dernier, un article de The Independent on Sunday, faisait état de la volonté des autorités décisionnelles européennes d’accélérer l’imposition de l’industrialisation des OGM agricoles par le biais de réunions secrètes dont la tenue vise à élaborer des stratégies de persuasion de l’opinion publique en faveur de l’acceptation de ces produits, notamment par la communication sur les normes de sécurité européennes en la matière.

L’annonce de l’EFSA donnant un avis favorable au maïs mon810 s’inscrit dans une telle stratégie communicative infondée, compte tenu notamment des importantes réserves émanant non seulement de scientifiques experts en ce domaine, mais également de l’opinion défavorable de l’opinion publique non prise en compte par les décideurs, et des avertissements économiques à charge relatifs au développement de cette industrie tels qu’en témoigne la récente étude du CREG de l’Université de Pau.

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L’Ambassade de France aux Etats-Unis s’active dans la propagande OGM à échelle planétaire

Posté par ... le 30/10/2008

En diffusant un communiqué de presse ultra proOGM, l’ambassade de France aux Etats-Unis s’active dans la propagande OGM, commandée par les institutions américaines et leurs émissaires scientifiques idéologues.

Le docteur Fedoroff, diplômé en biologie moléculaire, membre de l’U.S. National Academy of Sciences et conseiller pour la science et la technologie auprès du secrétaire d’Etat et du directeur de l’U.S. Agency for International Development s’est ainsi livré le 16 octobre dernier à la promotion propagandiste des OGM pour nourrir le tiers-monde en donnant une conférence au département d’état américain vantant les promesses illusoires et superficielles d’OGM enrichis en nutriment ou du maïs Bt résistant aux insectes, dont il est pourtant prouvé que ces derniers développent eux-aussi des résistances à la toxine Bt. Le docteur a réexpliqué également que le procédé de transgénèse existe naturellement dans la nature avec Agrobacterium Tumefaciens, sans expliquer qu’il s’agit à la base d’un détournement d’un processus pathogène et virologique, n’ayant aucun rapport avec la biologie de la reproduction. Lire le reste de l’article »

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L’incompatibilité des filières OGM et non OGM démontrée par une étude économique universitaire

Posté par ... le 30/10/2008

Une étude du Centre de Recherche en Gestion de l’Université de Pau intitulée “Analyse des coûts induits sur les filières agricoles par les mises en culture d’O.G.M”, confirme par l’analyse économique ce qui était déjà très clair, à savoir l’incompatibilité des filières OGM et non OGM en France et par ailleurs, dans le reste du monde.

Selon cette étude, les coûts générés par la séparation des filières sont trop importants pour permettre la subsistance sans lourdes contraintes économiques, des filières non OGM. L’agriculture transgénique qui est par nature intrusive, crée en effet des externalités négatives fortement dommageables pour l’ensemble de la profession agricole. L’étude indique qu’à terme, les filières sans OGM sont en réel danger et que les filières totalement exemptes d’OGM comme les filières biologiques seront condamnées par l’imposition industrielle des OGM agricoles sur le territoire. L’évaluation a été menée à partir de filières représentatives : maïs, soja, poulet Label rouge pour les filières animales.

Cette étude pointe le doigt sur la légitimité même de la filière OGM dans le monde, puisqu’il s’agit d’un développement agricole unilatéral généré par de grandes puissances financières, ne permettant pas aux autres filières de pouvoir survivre ou se développer normalement, dans un contexte de mondialisation économique forçant les agriculteurs à rentrer dans une logique de compétition internationale au niveau des denrées alimentaires, et ce alors que ce même système occasionne du gaspillage(*) et une répartition inégale des denrées produites générées par les marchés, dans un monde où la malnutrition et la famine touche encore des millions de personnes dans les pays en voie de développement, mais aussi en développement, nécessitant la tenue de banques alimentaires pour les personnes les plus défavorisées.

En divisant l’agriculture et en rendant plus chère l’agriculture non OGM, ce sont encore les personnes les moins favorisées qui pâtissent de ce développement industriel. Les OGM, non sûrs et non étudiés au long terme pour les pauvres gens, qui pour beaucoup par manque d’éducation alimentaire et étant donné leur budget limité n’ont pas le choix que d’acheter de l’alimentation de basse qualité, et la nourriture bio chère pour l’élite, à l’image de la ministre du développement durable Nathalie Geneviève Marie Kosciusko-Morizet, se vantant de donner du bio à ses enfants, voilà l’agriculture complètement injuste et inégale que la libéralisation corporatiste et adémocratique promet aux populations.

(*)Chaque jour, 4,4 millions de pommes sont jetées à la poubelle en Grande-Bretagne, selon l’association Waste & Ressources Action Programme. D’autre part, il est estimé qu’un supermarché rejette environ 150 millions de tonnes de marchandise par an soit 30% de sa marchandise. Ces données de pertes alimentaires ne sont pas officiellement délivrées publiquement en France, ou ne sont pas disponibles. Une étude de la “Local Government Association (LGA)” de Grande -Bretagne indique que 12 millions de tonnes de nourriture auraient été jetées à la poubelle en France en 2007.

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Des études sans intérêt sur les OGM au secours des multinationales de biotechnologies (2)

Posté par ... le 27/10/2008

Le principe d’équivalence en substance qui a permis l’autorisation de mise sur le marché des aliments génétiquement modifiés dès 1992 par la Food and Drug Administration (FDA) et utilisé aujourd’hui par les institutions de contrôle sanitaire du monde entier, établit a priori que les aliments génétiquement modifiés doivent être utilisés dans la chaîne alimentaire. Cet a priori repose sur une méthodologie non ciblée sur la spécificité de la technique de transgénèse elle-même, mais exclusivement sur la comparaison macroscopique des aliments modifiés avec les aliments non modifiés, selon les méthodes traditionnelles d’analyse chimique et biochimique, se révélant être en fait complètement insuffisante au regard de la nouveauté de cette technique de manipulation du génome des organismes.

Dès le départ la méthodologie de l’équivalence en substance est fausse et inadéquate scientifiquement. Elle est en fait un argument minimal permettant l’imposition industrielle des aliments génétiquement modifiés dans la chaîne alimentaire. En effet, les modifications de type transgénèse ne sont nullement questionnées en elle-même par ce protocole de tests comparatifs entre aliments génétiquement modifiés et aliments non génétiquement modifiés. Seule la comparaison est faite entre la teneur en micro-nutriments des aliments, et est évaluée la toxicité relative à la production de nouvelles protéines déjà connues au préalable.
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Des études sans intérêt sur les OGM au secours des multinationales de biotechnologies (1)

Posté par ... le 26/10/2008

Une dépêche AFP récente nous informe des résultats d’une étude scientifique sans intérêt, menée en Grande-Bretagne, et répétition d’une étude déjà menée il y a un an aux Etats-Unis, censée démontrer que les OGM agricoles sont utiles.

Aussi, des tomates ont été modifiées génétiquement pour les enrichir en anthocyanines, des antioxydants de la classe des flavonoïdes. Ces tomates ont été données à des souris présentant l’absence d’un gène protecteur contre certaines tumeurs. Le résultat de l’étude indique que le groupe témoin de souris ayant été nourri avec ces tomates GM aurait vécu plus longtemps statistiquement que les groupes témoins nourris sans tomate ou avec des tomates dites “normales“.

Mais selon la dépêche, l’étude est un fiasco tout comme celle déjà menée aux Etats-Unis avec des tomates enrichies en lycopène. “Nous ne savons pas comment ça marche, et il est improbable que ces données s’expliquent par les seuls antioxydants”, a reconnu Marco Giorgio, de l’Institut européen d’oncologie. “De plus, nous n’avons pas pris en compte d’éventuels effets toxiques, donc je dirais que nous sommes très loin d’envisager un essai sur des humains”. La FDA avait également reconnu il y a un an, qu’il est improbable que la consommation de tomates enrichies en antioxydant soit utile dans la lutte contre le cancer. Cette étude portant sur des tomates enrichies en antioxydant avait en effet déjà été menée aux Etats-Unis, ne présentant ainsi aucune nouveauté.
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OGM, compétition et crise écologique

Posté par ... le 25/10/2008

Le développement des OGM agricoles s’inscrit dans une démarche industrielle et économique de croissance indéfinie, dans une logique de compétition économique entre entreprises concurrentes au sein d’un “marché du gène”. Cette logique est elle-même définie et inscrite dans une compétition entre nations ou groupes de nations formant des pôles économiques concurrentiels.

Outre la décision prise en-dehors des citoyens de l’imposition de l’acceptation juridique des brevets au regard de la matière vivante manipulée par certaines techniques de génie génétique dont la transgénèse, la logique de marché sous-tendant le développement industriel d’entreprises comme Monsanto et autres, est foncièrement incompatible avec les rythmes naturels imposés par les contraintes biologiques, géologiques et environnementales des systèmes agricoles incorporés dans un milieu écologique donné.

Le journaliste Hervé Kempf discute de la thématique globale de la croissance dans la conférence ci-jointe, au regard des différentes préoccupations environnementales actuelles. Il évoque la nécessité de réduire la consommation matérielle, à l’inverse de l’idéologie dominante de la société toute entière qui donne à la consommation une importance idéologique illimitée et primordiale dans la société. Le terme “réduire” semble ici assez répressif, et il s’agit de comprendre que le système économique actuel est destructeur de l’environnement, tout comme il est destructeur à de multiples niveaux sociaux. Il ne s’agit donc pas de manière générale, de réduire la consommation en tant que telle, qui est à la base du système économique tout entier, ou de se poser de nouvelles limitations ou d’instaurer une politique de rigidité économique alors que l’inflation se fait sentir sur les produits de première necessité eux-mêmes, mais d’apprendre à consommer, mais aussi à produire autrement. Une telle approche ne peut que raisonnablement s’orienter vers une diminution naturelle des produits de consommation superflus, encombrants et polluants qui sont développés massivement dans la société.

Aussi, plus que la croissance, ce sont la compétition et la concurrence qui sont des concepts à comprendre et à déconstruire aujourd’hui. Car ce sont ces modalités de pensée, à titre personnel comme collectif, qui sont à l’origine ou le moteur de ce développement économique destructeur tout entier. Il ne s’agit donc pas de militer pour un concept de non-compétition, ou un concept comme la décroissance, qui est une réaction au concept de croissance, et qui donc porte dans ses fondements les principes mêmes de la croissance, dans une version opposée, ou bien pour des utopies écologiques ou sociales, nouvelles ou anciennes, mais il s’agit de comprendre l’aspect destructeur du système économique actuel dans son entier, basé sur la compétition, la comparaison et la concurrence, et ce quels que soient les domaines d’activités.

En créant un “marché du gène”, ce système économique et sociétal autorise notamment dans cet aspect particulier des activités humaines qu’est l’agriculture, la propriétarisation des sources biologiques d’alimentation par des entreprises privées en guerre économique, et le développement d’organismes génétiquement manipulés, alors que l’impact de ces techniques est inconnu à moyen ou long terme, et que leurs modalités de développement économique sont infondées, comme le sont les brevets sur la matière vivante manipulée, étendus aux organismes vivants eux-mêmes.

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